Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (30) : Olga Et Hassan.
Dans le récit précédent, jai expliqué que, peu après mon accouchement et dès que jétais de nouveau en état davoir des rapports sexuels, Rachid, qui avait « disparu » de notre vie au cours des dernières semaines de ma grossesse, était réapparu et avait rétabli pleinement ses « droits » dans notre trio. A lissue dune séance de baise torride, il avait clairement réaffirmé sa domination sur moi et son rôle : celui du mâle, dispensateur de nos plaisirs, pour lhypersexuelle que je suis et satisfaire les fantasmes candaulistes de Philippe. Il laissait à celui-ci le rôle de père et de mari, et aussi de celui qui me comblait damour et de tendresse.
Contrairement à la première phase de notre trio, Rachid noccupait plus le lit conjugal. Il ne vivait plus avec nous, se contentant de venir chaque soir pour accomplir ce quil appelait ironiquement son «devoir conjugal» et me laissait ensuite, repue de plaisir, dans les bras de Philippe.
Jétais traitée comme une putain, que son mâle venait honorer chaque jour. La particularité était que cela se faisait avec lassentiment et en présence de mon mari, qui assumait ainsi son candaulisme et partageait pleinement mon plaisir.
En dehors de cela, Rachid ne témoignait envers moi que de la brutalité et du mépris. Il nexprimait aucun sentiment, pour lui je nétais quun corps et encore plus, un cul, qui lui appartenait et dont il disposait selon son bon vouloir. Cela se sentait dans la manière dont il sadressait à moi, me traitant de pute, de salope, de chienne, de truie, de sale bourge. Sans compter le mépris quil affichait pour Philippe, quil traitait de cocu et de pédé. Quand lenvie lui prenait, il enculait mon chéri avec une brutalité inouïe.
Philippe avait bien tenté de me convaincre de chasser ce voyou de notre vie, mais je lui avais dit que je ne le voulais pas, que léquilibre que nous avions trouvé entre lamour (avec Philippe) et le sexe (avec Rachid) me satisfaisait.
Cest un autre homme qui y est parvenu : Hassan. Hassan fût, après Rachid, mon second mâle. Il a été davantage que cela. Ma liaison avec lui a très vite dépassé le cadre du candaulisme pour passer à celui dune liaison adultère où le candaulisme clandestin de Philippe devint de plus en plus difficile à faire cohabiter avec un autre homme qui aspirait à être le seul homme de ma vie, à la fois dispensateur de plaisir et damour. Bref, il voulait non seulement chasser Rachid, mais aussi Philippe et changer complétement mon mode de vie. Il est à lorigine de la seule séparation durable entre moi et Philippe, avant que mon hypersexualité et mes sentiments pour lhomme de ma vie ne me poussent à revenir vers Philippe et à rétablir notre couple.
Comme chaque mardi après-midi, je me rendais à la cité dont Rachid était originaire et où il avait pris lhabitude (voir récit n°20) de moffrir aux jeunes de la cité. Les premières fois, cela sétait déroulé dans une cave de la cité, sur un matelas. Puis, très rapidement, Kamel, un ami très proche de Rachid, avait mis à disposition lappartement où il habitait. Il était certain de ne pas être dérangé le mardi après-midi, cest pour cela que ce créneau avait été choisi.
Rachid veillait à ce que mon arrivée à la cité ne passe pas inaperçue. Il exigeait que je sois outrageusement maquillée, que je porte une jupe serrée et courte, un chemisier ou un tee-shirt échancré, qui laissait bien voir mes seins, sans que jamais je nai de soutien-gorge. Il mobligeait aussi à mettre des talons-aiguille qui rendaient ma marche difficile, mais qui mettaient en valeur mes fesses, rendant fous de désir ces jeunes mâles.
Je prévenais Kamel quand jarrivais car les quelques mètres qui me séparaient de ma voiture de lentrée de limmeuble avaient failli mal tourner quelquefois. Jétais entourée de nombreux jeunes, certains très mécontents de devoir patienter sur la « liste dattente ». Une fois jai cru que jallais me faire violer dans la rue, certains me prenant dans leurs bras pour me rouler des pelles, me faire sentir leur érection, ouvrir mon chemisier pour me ploter les seins, me mettre la main aux fesses et, de leurs doigts, explorer ma chatte déjà humide et ouverte. Jai cru quils voulaient me conduire dans une cave ou dans un recoin pour me baiser sans autre forme de procès. Ce jour-là, je suis arrivée pratiquement nue chez Kamel. Cest pourquoi, dès la fois suivante, Kamel et des amis à lui attendaient ma voiture pour mescorter jusque chez lui. Rachid tenait à conserver la maîtrise de la situation, que tous sachent que jétais disponible, mais que cétait lui et lui seul qui décidait de lordre de passage.
Même accompagnée, jétais couverte dinjures. Jentendais souvent le mot de Kahba, je savais que cétait le mot pour qualifier les putains en Arabe. Cela exprimait tout le mépris que ces jeunes avaient pour moi. Je passe sur les autres qualificatifs, qui étaient aussi employés par Rachid lors de nos rapports, le moindre étant celui de « salope », que jassumais volontiers. Ce quils conspuaient aussi cétait la bourge des beaux quartiers de la ville, lépouse dun notable et ils le savaient. On avait trouvé sur le centre social du quartier des graffitis qui disaient, en interpellant Philippe « T.
La montée des escaliers jusquau 4ème étage, où se situait lappartement où vivait Kamel était un autre moment difficile. De nombreux jeunes en profitaient pour mater, dautant plus que Kamel, par vice, me faisait retirer le mini-string que javais été autorisé à mettre. Les mères de famille, qui ne pouvaient empêcher leurs fils de participer à tout cela, magonisaient dinjures. Il mest arrivé de me faire cracher dessus.
La police sétait inquiétée de tout cela et avait mené une enquête pour savoir sil sagissait de prostitution. Je fus menacée dêtre poursuivie pour racolage, mais il ny eut aucune suite, lenquête ayant confirmé que tout cela était non tarifé.
Selon les semaines, les amateurs étaient plus ou moins nombreux. Lappartement étant petit, ils étaient maximum trois en même temps, les autres attendant avec impatience leur tour. Quelquefois ça se terminait tard le soir.
Les étreintes étaient souvent rapides et brutales et mes jeunes amants maladroits, malgré mes efforts pour les guider et les mettre en confiance. Certains étaient doués ou accomplissaient de grands progrès. Quant à Kamel, sa proximité avec Rachid lui permettait de profiter de mon corps à chaque fois. Il avait même droit, lorsque je nétais pas dans une période « dangereuse » ou que je prenais la pilule, de se vider en moi, tous les autres étant strictement soumis au préservatif.
Javais aussi remarqué que Kamel prenait soin de filmer mes ébats et je savais que cela circulait dans la cité.
Comme je lai indiqué, quelques jours après que Rachid ne soit venu affirmer la « plénitude de ses droits » sur moi, je suis retournée à la cité chaque mardi. Javais été accueillie avec enthousiasme, car je ne my étais plus rendue depuis mon 3ème mois de grossesse. Je navais pas changé, sauf sans doute mes seins devenus plus lourds du fait de lallaitement. Javais retrouvé la finesse de ma taille et mon ventre nétait pas marqué par la maternité.
Tout semblait donc comme être revenu à la normale quand tout a basculé. Cette après-midi-là, Kamel, en accord avec Rachid, avait décidé quil me réservait pour lui et pour son cousin Abdel. Kamel était un très bon amant et je mattendais à passer une après-midi torride avec ces deux mâles. Nous étions ensemble depuis une vingtaine de minutes, je suçais à tour de rôle Kamel et Abdel et je savais que Kamel allait bientôt me commander de me mettre à 4 pattes pour me posséder en levrette. Janticipe son désir et prend position, faisant par ailleurs signe à Abdel dapprocher pour que je puisse lui tailler une pipe, pendant que son cousin allait me posséder.
Cest alors que la porte de la chambre souvrit brutalement et apparut un homme dune quarantaine dannées. Cétait Hassan. Il était très en colère :
Ainsi, ce quon mavait dit était vrai ! Kamel comment oses-tu ? Tu nas aucun respect pour la mémoire de nos parents. Je te faisais confiance et tu mas trahi en souillant cet appartement avec tes débauches !
Hassan, laisse-moi texpliquer. Cest une bourge, elle vient ici volontairement pour se faire passer dessus. Cest lépouse de T., un notable de notre ville, mais elle est la femelle de Rachid, qui la met à disposition des potes.
Il ny a rien à expliquer. Je tai déjà dit que je ne voulais pas que tu fréquentes Rachid. Cest une petite frappe. Cette femme est folle de son corps et vous profitez de son addiction. Honte à vous !
Jobservais lhomme. Son langage tranchait avec celui des jeunes de cette cité. Il employait des mots soigneusement choisis. Au lieu de me blâmer moi, de minjurier, il sen prenait à ceux qui exploitaient mon hypersexualité.
Ce qui ma immédiatement attiré chez Hassan, cest limpression de puissance, de virilité quil dégageait. Il savait, je lavais immédiatement remarqué, mettre en valeur sa silhouette et sa puissance, un torse en V, des bras musclés, mettre en valeur son physique. De grande taille, il était un bel homme et il le savait. Un visage fin, des cheveux noirs, des yeux noirs, une fine moustache autour dune bouche sensuelle. Jai eu immédiatement un coup de foudre.
Maintenant ça suffit ! Kamel et Abdel, vous vous habillez et vous dégagez !
Mais Hassan, protestait Kamel en shabillant à la hâte, craignant la colère de son aîné.
Ne discute pas, Kamel, tu vois bien quil est fou de rage. Nous sommes chez lui, noublie pas. Viens chez moi en attendant quil se calme.
Tu enverras chercher tes affaires, je ne veux plus te voir, tu entends. Dehors !
Jétais impressionnée par cette force et cet esprit de décision. Hassan était un homme fort et décidé. Jamais Philippe, malgré limmense amour quil a pour moi, naurait osé agir ainsi.
Pendant ces quelques instants de tension, Hassan navait pas détaché ses yeux de moi.
Je sais qui tu es, jai entendu parler de ton histoire. Toi aussi tu thabilles et tu rentres chez toi.
Rachid va être fou de rage quand il saura ce qui sest passé. Jai peur de sa réaction.
Ton mari ne te protège pas ?
Philippe est un trésor, mais Rachid le domine également.
Je vois, je te raccompagnerai et je dirai son fait à ce petit voyou de Rachid. Une lope à mes yeux.
Je me suis levée, toujours nue, et me suis dirigée vers Hassan.
Hassan dégageait tant de virilité, dhumeur purement mâle, que mon instinct sest réveillé à la simple vue de son visage. Cétait comme si toutes mes hormones entraient en ébullition
Et je me suis mise à fantasmer sur cette énergie sexuelle qui dégageait de lui et créait en moi de folles et irrésistibles envies. Je me suis mise à imaginer des ébats passionnés, fougueux.
Je ne peux mempêcher de porter mon regard sur son pantalon, sa braguette est enflée, comme si elle était prête à exploser
Et ma langue vient inconsciemment caresser mes lèvres.
Femme, que fais-tu ? Que veux-tu ? Arrête, il ne faut pas !
Hassan posa la main sur mon épaule nue, pour tenter darrêter ma marche vers lui.
Sa voix grave, sa main sur mon épaule
Et mon bas-ventre tressaillit déjà
Un sourire charmeur, une virilité indéniable, et mon intimité commençait déjà à shumidifier
Je le voulais déjà, je voulais déjà goûter à sa peau, à son intimité, sentir son odeur
Il fallait quil mapaise, quil apaise cette demande brulante émanant de mon ventre
Je le voulais
Il la immédiatement compris, a su voir et ressentir mon désir. Son regard a montré une étincelle, jai senti lextrémité de mes seins tendre impunément vers lui, mon intimité continuait à shumidifier, comme pour répondre à son regard
Les mots étaient presque superficiels, nos corps, nos attitudes et nos regards communiquaient presque deux-mêmes
Mektoub. Tu dois savoir, femme, que si tu persistes à vouloir toffrir, tu seras à moi, pas comme maîtresse, mais comme épouse. Tu seras à moi, seulement à moi. Je chasserai Rachid, qui ta fait tant de mal, mais aussi celui qui na pas su te protéger.
Je suis à toi, Hassan. Viens !
Hassan voulait un abandon total et aveugle. Il voulait que je lui donne tout, me livre corps et âme, sans retenue.
Hassan se colla à moi, pectoraux gonflés, muscles saillants. Il menlaça fougueusement, jétais suspendue à son cou, lui griffant la nuque, vibrant de désir.
Javais tressailli comme si on mavait piqué à vif. Il y avait en lui tant de force, de vigueur, que cela me laissait toute faible. Comme un oiseau effrayé qui se laisse prendre dans les griffes dun matou affamé, et qui ne peut échapper à son emprise. Brusquement, je me sentais si fragile, si désorientée, avec lenvie inavouable de me laisser guider, posséder. Je ne pensais plus à rien, ni à Philippe, ni à Rachid.
Mais là, je savais que je deviendrai la chose de cet homme. Je poussais un grognement éperdu lorsquil membrassa avec une frénésie animale. Nos langues se trouvèrent hâtivement, voraces, affamées.
Le baiser redoublait d'intensité. Je déboutonnais la chemise, écrasant mes seins contre le torse lisse et bronzé dHassan.
Hassan mécartait les cuisses: du fait de ma récente maternité, mon ventre était bombé, mes hanches larges, le buisson du pubis soigneusement épilé aux limites du maillot, la brèche rose noyée au milieu de la toison brune, gluante de cyprine. Javais les yeux clos, les joues brûlantes. Javais envie dêtre prise par ce mâle qui me rendait folle de plaisir.
Hassan a quitté son jean, il était nu devant moi. Il ma écarté davantage les cuisses, je lai entendu murmurer:
Tu es si belle...
Il me serra davantage, je frottais mon bassin et ma poitrine contre lui, remontant un genou entre ses cuisses. Avec une force incroyable, Hassan me porta dans ses bras comme sil sagissait dune plume. Je me sentais emportée par un tourbillon si tumultueux que je me laissais grisée, enlaçant la nuque noueuse, me blottissant dans ses bras comme une petite fille perdue. Je me sentais si fragile, si docile
Sans cesser de me porter, nos bouches sunissaient dans un long baiser qui était celui dun mari et dune épouse, pas celui damants. Nous étions unis dans la même ardeur.
Je voulus poser une question mais des lèvres gourmandes men empêchèrent. Bientôt, je neus neut plus du tout envie de parler. Me posant sur un fauteuil, Hassan menlaçait avec une fougue croissante, me communicant son envie. Il sexcitait à lodeur de ma peau, se coulait sur moi, comme sil voulait que nos chairs se confondent, quelles ne fassent quune. En descendant, il mécartait les jambes avec ses genoux tandis que collais mon pubis contre sa cuisse dun souple mouvement du bassin.
Il glissa le long de mon corps, suçant mes seins avec un appétit goulu, et lune de ses mains caressait la courbe des hanches, se faufilait entre la douceur satinée des cuisses. Sadique, il immobilisa un instant sa main avant de reprendre la caresse là où il lavait laissé. Ses doigts parcouraient toute la longueur de la fente intime, avant de sattarder sur le clitoris quil percevait très sensible à ses attouchements. Les jambes écartées au maximum, le corps agité de mouvements encore plus spasmodiques, je ne faisais que pousser des gémissements extasiés.
Un sourire complice, et une vague de chaleur menvahit. La main dHassan glissa sur mes fesses, puis au cur de mon humidité. Il passe alors ses doigts sur mon clito prêt à exploser de désir. Je lâche un profond râle dextase, mais jen veux plus. Il le comprend de suite, et cherche de ses doigts à pénétrer mon intimité. Mon sexe est trempé, Hassan enfonce alors plusieurs doigts au plus profond de moi. Que cest bon
Que cest bon de sentir sa main sagiter au rythme de mes soupirs, et ses doigts toujours plus curieux
Il embrasse mon cou en même temps, tout en me demandant si ça me plaît, puis prend mes lèvres, dans un long baiser.
Jai envie de crier ma jouissance, jai envie de lui hurler de ne pas sarrêter. Ses mouvements sintensifient au cur de ma chatte
Je suis plus que trempée, des spasmes parcourent la totalité de mon corps. Cest si bon.
Hassan me jette un regard complice en portant ses doigts à la bouche.
Jai senti à nouveau ses lèvres sur mon nombril, puis sur mon abdomen...La bouche dHassan est descendue encore, la langue est entrée en action, me faisant gémir puis crier. Longuement il a enfoncé sa langue loin dans mon vagin ruisselant tout en me relevant les cuisses pour mieux m'ouvrir. Je criais de plaisir comme une folle, crispant mes doigts dans la chevelure de l'homme. Quand il s'est redressé pour s'allonger sur elle, sa bouche venant contre ma bouche, il ma demandé doucement, avec respect :
Tu veux?
Oui, mais avant Hassan, jai tellement envie de te lécher, te sucer et te goûter, je te veux sur ma langue, au fond de ma bouche.
Hassan ma rendue folle de désir et je veux lui rendre la pareille. Son sexe est si appétissant, Mais je veux le déguster
Je le lèche innocemment, de long en large. Mon regard ne le quitte pas, et il me montre quil aime ça.
Mes lèvres recouvrent dabord timidement son gland, puis le suivent jusquà sa base. Ma bouche fait des va-et-vient tout le long de son sexe, et ma langue joue avec chaque parcelle de sa si belle queue
Tantôt je lenrobe de ma langue, tantôt je la lèche simplement en le regardant avec désir, tantôt je laspire, ou la suce
Je veux sa queue, je la veux dans chacun de mes recoins
A quatre pattes devant moi, il pose enfin ses doigts entre mon entrée interdite et ma source de plaisir. Il agite ses doigts entre mon minou et mon clito, mettant parfois de petites tapes sur ce dernier, enfonçant parfois plusieurs doigts au plus profond de moi
Je remue mon bassin au rythme de sa main, afin de mieux ressentir les effets de sa curiosité charnelle
Comme cest bon de lavoir en bouche en même temps
et comme sil avait devancé mes désirs, Hassan att mes cheveux afin de me signifier la soumission qui mexcite tant
Je lèche, suce et aspire, ses doigts continuent daller et venir au fond de moi
Hassan mimpose une pose. Il veut prendre son temps. Il veut me faire lamour, pas seulement copuler.
Olga, tourne-toi face à moi
Je lui faisais face, les mains dans le dos, les yeux baissés. Il ma détaillée un long moment, alors que moi je navais quune envie : quil continue à me baiser.
Il ma dit qu'il aimait mes seins, leurs aréoles larges et foncées. Je lui ai dit que jallaitais ma fille. Il ma complimentée pour la finesse de ma taille, le galbe de mes hanches, ajoutant
J'aime bien ton petit ventre
Je nai pas encore repris complètement ma taille davant ma grossesse
Ça te va très bien...rassure toi. De toute façon, jai bien lintention de ten faire dautre et rapidement. Tu seras ma femme et la mère de mes s.
Je suis à nouveau dans une période favorable, Hassan
Je vais te féconder, Olga. Nous vivrons ensemble, je tépouserai quand tu auras divorcé de Philippe.
Au plus profond de moi, je nai jamais cessé daimer Philippe. Mais à cet instant, je suis entièrement à Hassan. Je suis amoureuse comme je ne lai jamais été.
Il me fit aussi remarquer mes cuisses très galbées ainsi que mes mollets, jexpliquais que je suis très sportive et que jai toujours pris soin de mon corps.
Tourne-toi !
Jai pivoté à nouveau, lui présentant mon derrière cambré. Il matait mes fesses fermes et le profond sillon séparant les deux hémisphères à la peau laiteuse. La blancheur de mon postérieur contraste avec la peau bronzée de mon dos et de mes jambes. Je sais que cela rend les mâles fous de désir.
Il fait à nouveau me tourner vers lui
Regarde l'effet que tu me fais, Olga. Tu es à moi, tu es ma femme désormais.
Sa verge est circoncise et terriblement épaisse. Il s'approche de moi, le gland effleure mon abdomen. Hassan matt par le bassin, et me fait minstaller à quatre pattes, ma croupe et ma chatte offertes à ton bon vouloir
De sa main libre, il me saisit par les cheveux.
Je vais te posséder, Olga. Désormais tu es à moi et rien quà toi. Tu la veux, femme ?
Oui, mon homme, dis-je dans un soupir
Jai senti contre l'ouverture de mon ventre le gland chercher son passage puis s'enfoncer en moi, me faisant feuler de plaisir. Je me souviens du choc ressenti au moment où le gland a percuté mon utérus puis de la sensation de vide au moment où il se retirait, de mes doigts griffant les reins de l'homme, quand la massue s'engloutissait à nouveau au plus profond de mon ventre...Je sens sa queue senfoncer au plus profond de moi, ses coups de reins si rudes font exploser mon plaisir. Je lui crie que jaime ça, et sa queue et ses reins sen montrent encore plus vigoureux
Que cest bon, quel bonheur
De son autre main il pétrit mes seins, et je caresse mon clito au rythme de ses coups
Tu aimes ça, chérie ?
ouuuuuuuuiiiiiiiiiiii, encore
Il accélère encore le mouvement. Je sens son plaisir monter au rythme du mien, et je lui demande de jouir en moi. Je me rends compte quil ma peut-être fécondé, quelques semaines après la naissance de ma première fille.
Je suis insatiable et je lui fais comprendre que je veux à nouveau être prise.
Je relève les cuisses pour mieux ressentir sa présence au fond de mon ventre. Il me la possède sans faiblir durant un quart d'heure et je connais un orgasme inouï, dévastateur. Pendant quelques instants, je me sens partir tellement le plaisir a été fort.
Nous avons fait lamour toute la nuit. Il s'allonge sur le dos et je viens le chevaucher. Je me vois dans la glace, caracolant sur lui, mes seins encore lourds tressautent.
Tu es belle, Olga. Jaime la chaleur de ton ventre.
Je me dégage, laissant s'échapper une coulée de cyprine. Je me penche sur lui, descend, parcourant le torse puis l'abdomen plat de petits baisers humides. Je prends la verge de mon homme en bouche, goûtant la saveur de mes propres sécrétions, caressant les bourses.
Hassan me fait changer de position, je me tourne sans que ma bouche abandonne la verge, je me place à l'envers, mes mollets de chaque côté du buste dHassan. Celui-ci enfouit sa bouche tandis que je redouble ma fellation, suçant alternativement la verge et les bourses gonflées.
La bouche de mon homme reprend aussitôt son affolante caresse dans l'illet maintenant tout aussi détrempé que son vagin. Il s'arrache à la bouche qui le dévore et se replace derrière moi, les genoux solidement campés sur le lit, il me fait comprendre d'une tape sur la fesse la posture qu'il attend de moi.
Oui, mon chéri. Prends-moi en levrette !
Je me prosterne, le visage écrasé sur le couvre-lit. Hassan approche le gland de l'entrejambes et, me saisissant aux hanches, il s'engouffre d'un trait dans le vagin liquéfié. Pourtant habituée aux gros calibres, je pousse un cri de bête blessée quand le gland percute le fond de mon ventre. Il se retire aussitôt pour replonger encore. A nouveau, je crie.
Vas-y, défonces-moi !
Un long moment il se déchaîne dans mon ventre, m'amenant à un orgasme dévastateur qui me fait m'écraser à plat ventre sur le lit, presque inconsciente, pendant quil inonde mon vagin. Il se retire doucement d'elle, toujours aussi roide et s'allonge sur le corps inerte. Il parcourt de petits baisers le haut de mon dos, la nuque à la racine des cheveux, il me mordille.
Cette rencontre allait changer beaucoup de choses et remettre en cause mon couple avec Philippe, provisoirement, mais ça je lignorais alors. Pour la première fois depuis que javais rencontré Philippe et que nous menions ensemble ces jeux candaulistes, sous la coupe de Rachid sur le plan physique, mais (sauf au début) pas sentimental, cette fois, jétais tombée follement amoureuse dun autre homme.
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